C'est le départ. Tout le monde est prêt à affronter ce qui s'annonça vite être plus accidenté qu'anticipé.
Une première paroi s'offre à notre gauche après un ou deux kilomètres. Pas de quoi se jeter par terre. Quelques problèmes de bloc tout au plus.
Sur les abords de la rivière, après maximum 2 kilomètres de marche, on trouve ce rocher fort esthétique. Il y a une ligne de bloc potentielle, soit la traverse de droite à gauche en partant d'une tablette évidente et en rétablissant sur l'arête à gauche.
Chopin est bien content de sortir en forêt. Malgré son look grunge, il n'a pas fait trop un fou de lui-même en fonçant dans les arbres et en tombant dans des trous. Bravo, Champion!
La première passerelle à vie pour Chopin. Une expérience traumatisante pour lui, surtout avec Patrick qui s'amusait à faire bouger celle-ci.
La paroi que l'on trouve entre les deux passerelles. Un potentiel intéressant pour des voies d'aventure. Il faudrait probablement arriver d'en-haut, car il ne semblait pas y avoir de sentier qui menait à la base.
Le haut de la même paroi. Environ 50-60 mètres de haut. Peut-être même plus.
Une paroi fort intéressante juste avant la boucle des cathédrales. Elle n'était pas trop loin d'un sentier menant au Faubourg. Une trentaine de mètres de haut, selon ce que l'on pouvait voir.
À la sortie de la boucle des Cathédrales, près d'un belvédère et d'une plage de gravats, une jolie paroi aux arêtes et aux dièdres fort invitants. Fort probablement autour de 40-45 mètres de hauteur.
Une autre paroi rocheuse. Son aspect était intéressant, mais elle ne semblait pas très haute. Du highball possible?
La chute Jean-Larose. La roche y est fort jolie, mais il n'y a pas réellement de possibilité d'escalade, outre la section à sa droite qui se situe dans le facile. Parlez-en à Christian qui l'a fait en solo en soulier Oakley!
Enfin en bout de ligne! Heureux, mais fatigués!
Les points bleus sur la carte indiquent approximativement les diverses parois ou blocs aperçus.
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