Un peu avant le mouvement en croisé qui donne le nom à cette voie.
Damien, notre hôte, dans la croisée 6a
Au tour de Jacynthe de s'essayer dans la Croisée.
Les premières impressions sur le Viaduc des Fauvettes sont très bonnes. Les voies sont soutenues et très aériennes en raison de leur nature 100% verticale. Également, cela est très étrange de grimper dans une structure fait par l'homme sur des voies construites par l'homme alors que l'on est dehors en pleine nature.
La journée du 10 juillet, deuxième journée de notre voyage en France, fut une journée entièrement consacrée à notre passion, l'escalade. Encore une fois au Viaduc des Fauvettes. Cette journée nous a mieux permis de réaliser l'ampleur de ce site d'escalade à quelques minutes du centre de Paris. En effet, ce site contient 70 voies, dont plusieurs qui atteignent les 30 mètres de haut en se réalisant en une ou deux longueurs selon la corde utilisée.
Damien dans le Béret fi basque 5b/5c, la première voie de la journée.
Le site en tant que tel.
Ce fut une journée fort chargée pour tout le monde, Jacynthe et moi nous lançant dans plusieurs nouvelles voies (le changement de pays aidant), tandis que Damien et Edwige essayaient des voies plus difficiles, sous nos encouragements.
Au final, j'avais fait à vue le névé 6a+ et La mule erre 6a. J'avais flashé Chlorophile 5b/5c (6a?) en une seule longueur ainsi que la première longueur du Béret fi basque 5b. Et fait taupinette 5c en moulinette.
J'ai également passé à un cheveu de faire La croisée 6a à vue et je me suis lancé dans une 6c, sans vraiment m'attarder dedans, souhaitant par le fait même éviter d'utiliser la seule corde que nous avions à nous quatre.
Comme cette photo le laisse présager, le dîner fut fort agréable.
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